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grace reid
Now it's time for me to get up off the floor
âge la trentaine déjà passée malgré ses dernières années volées. à peine : 31 ans seulement, depuis le 17 juillet. naissance et nationalité premiers cris poussés à liverpool : elle est anglaise, représentante de son pays pour ses travers plutôt que ses qualités. origines perdues à travers les coucheries de sa mère et de sa mère avant elle. très probable qu’il y ait un peu de tout : de l’est, du nord, du sud, de l’ouest. à guernsey depuis quelques semaines tout au plus. métier, £££ rien pour le moment : elle n’a pas trouvé (plutôt pas vraiment cherché) et sa situation financière lui permet de s’en passer tout en étant relativement à l’abri du besoin. mais pas indéfiniment. statut civil, orientation célibataire depuis un bon bout de temps. pas un sujet qui lui pose problème cela dit : le couple, l'engagement, le mariage, les enfants ? pas sa came. sa préférence va aux hommes, quoi qu’elle ait déjà eu quelques relations avec des femmes. pronoms elle, she/her. faceclaim zhenya katava. personnage inventé. crédits tumblr ; can't go back, dennis lloyd

— caractère fière – directe – débrouillarde – maligne – charismatique – cynique – joueuse – indépendante – impatiente – instinctive –  ni expansive, ni démonstrative – caractérielle – protectrice – audacieuse – impitoyable – rancunière – masculine  – sarcastique.

Spoiler:
1. On n’aime pas trop les Reid à Liverpool ; faut bien reconnaitre qu’on a raison – ou pas tort, c'est selon. Monsieur est abonné aux séjours en prison (de quelques mois à quelques années) pour divers larcins de son cru, Madame est connue et reconnue pour ses services rendus – en-dessous de la ceinture. De là, personne ne s’est étonné du commentaire du juge lorsque Grace s’est retrouvée, à son tour, face à lui : c'est héréditaire, évidemment. Pour autant, ses parents, elle ne les connait pas tellement. Le père est derrière les barreaux ou ailleurs, la mère est occupée à satisfaire les envies de ses clients le nez poudré, les veines pourries, le sang vicié. D’abord vient Grace, puis, des années plus tard, arrive Andrea. Il ne faut que quelques mois après la naissance de sa petite sœur pour que les services sociaux prennent sérieusement le dossier Reid en mains. On arrache les enfants aux parents, que l’on considère comme « à risque potentiel » pour leur marmaille. Alors ça pleure, ça gémit, ça implore, mais c’est comme ça : Grace et Andrea intègrent le système. Qui les sépare à leur tour. Andrea n’est qu’un bébé à la triade joues-mains-pieds joliment potelés. Grace, elle, a six ans ; maigre, la tignasse mal peignée et l’air renfrogné. Alors on a moins envie de la prendre, moins envie de la garder, moins envie de l’adopter. Ses grands yeux disent qu’elle a déjà trop vu, et puisqu’il est toujours plus difficile de s’occuper d’une gamine à reconstruire que d’un bébé à faire grandir, Andrea est accueillie rapidement dans une famille, puis définitivement. Et tant mieux. Mais il reste Grace. Grace qui s’est éduquée toute seule à défaut de l’être par ses parents et qui a tout à déconstruire pour redécouvrir, réapprendre autrement. Alors ça ne fonctionne pas ; jamais. D’abord parce qu’elle ne comprend pas malgré sa bonne volonté, ensuite parce qu’elle ne veut tout simplement plus. Normal : toutes les portes qu’on ouvre lui claquent au nez, toute la confiance qu’elle donne est piétinée, tout l’investissement qu’elle fournit est négligé. Pas assez, pas assez, pas assez. Trop, trop, trop. Si rien ne va jamais, tant pis. Grace Reid prend le parti de se suffire à elle-même.
2. Il n’y a rien pour elle à Liverpool. Rien, si ce n’est des portes qui se claquent et d’autres qui s’ouvrent sans lui offrir de véritable perspective positive ; ou probable qu’elle ne les voie simplement pas. Rien, donc, si ce n’est sa mère, parfois, qui apparait aussi vite qu’elle disparait dans la nature, et les relations louches de ses parents qui lui tombent dessus avec leurs lots d’histoires et de misères. Rien pour elle, pour le rêve ou l’espoir. A 15 ans, Grace disparait de la circulation, utilise un nom d’emprunt et part pour Londres. Sa situation précaire la fait aller dans les mauvais endroits rencontrer les mauvaises personnes pour faire les mauvaises choses ; à ce stade, la morale, ça compte pas. C’est un luxe, et la gamine qu’elle est ne s’en embarrasse pas. Parce qu’elle est une putain d’anguille, elle est livreuse de colis qu’on préfère éviter de faire transiter par les voies normales. Elle s’en fout : les risques pris compensent largement les avantages qu’elle en tire. D’abord, la paie est pas mauvaise. On s’en fout qu’elle soit mineure, on la fait pas chier avec ses histoires, on s’apitoie pas sur son sort. On lui a filé un petit appart’ dans l’est de Londres contre un loyer ridicule par rapport aux prix de la capitale anglaise si bien qu’elle a de quoi vivre seule confortablement, et c’est déjà loin de ce qu’elle aurait pu espérer si elle était restée à Liverpool. Quand elle commence à conduire des bagnoles, on comprend que son talent pour la conduite sur deux roues s’étend aux véhicules à quatre. Grace Reid est une pilote. Elle a suffisamment arpenté Londres à vélo, en scooter ou à moto pour la connaitre comme sa poche. C’est simple : la circulation de la ville n’a que peu de secrets pour elle et pour ce qui est de la conduite en elle-même, elle a vraiment un don. Elle a jamais fait de mauvais coups – comprenez à ceux pour qui elle bosse – alors la confiance s’installe ; puis ce serait con de pas exploiter ses talents. Alors on lui fait livrer des « colis » plus précieux, on la paie pour participer à des braquages, des cambriolages, et quelque part, c’est la belle vie. Grace a de la thune, des amis. C’est devenu un jeu. Un jeu où elle conduit pour gagner, parfois piquée par l’adrénaline de la poursuite comme un défi qu’elle doit remporter. Un jeu dont elle connait évidemment les risques pour voir certains s’emballer et finir derrière les barreaux si pas dans un règlement de comptes. Un jeu où il y a beaucoup à gagner comme à perdre. Un jeu dangereux. Mais Grace Reid est de ceux qui jouent jusqu’à perdre. Alors évidemment, elle finit par se faire gauler.
3. 24 ans. C’est plutôt jeune pour déjà finir en taule et se prendre sept ans fermes. Elle a quand même de la chance : elle aurait pu, dû prendre bien plus, mais il y a des choses qu’ils ne savent pas et qu’elle se garde de confier. Elle aurait aussi pu prendre moins. Conclure un marché, balancer. Ouais, elle aurait pu ; mais elle sait trop bien comment ces histoires se terminent. Sept ans fermes, donc. A manger de la merde, faire de la merde et être traitée comme une merde. Sept ans pour ne pas avoir accès directement à ce qu’il y a de plus élémentaire. Sept ans pour tourner en rond et se faire chier, ressasser, avoir la haine. C’est compliqué. C’est la misère, ou plutôt les, parce qu’il y a de tout. Celles qui pleurent, celles qui hurlent, celles qui craquent, des centaines qui s’enfoncent pour quelques exceptions qui trouvent dans leur désespoir une étrange salvation. Grace passe par plusieurs phases. Le rejet : celui d’accepter la situation, d’être à nouveau au milieu d’une misère qui ne l’a jamais vraiment quittée, de devoir y faire face, de vraiment mériter de passer sept ans au noir. L’impatience arrive : celle de sortir, de retrouver sa vie, se refaire aussi. Le procès et ses conséquences lui ont coûté cher et il ne lui reste plus qu’un petit pécule. L’impatience de voir d’autres choses, de vivre vraiment. Vient ensuite une sorte de résignation. D’hibernation. Les journées se suivent et se ressemblent, la font glisser vers une sorte de torpeur grise où tout a la même saveur, tout est déjà vu, vu et revu. Les visites sont rares voire inexistante : Grace a des amis, oui, mais ils viennent tous du même monde, et aucun n’a intérêt à attirer l’attention en allant lui taper la causette. Elle comprend : elle a fait pareil. Elle n’a pas attendu d’être en prison pour comprendre que dans la vie, on est seul. Quoi qu’il arrive, quoi qu’il se passe, on est seul. Seul dans sa joie, ses réussites, ses bonheurs. Seul dans sa galère, seul dans son ennui, dans sa merde.
4. Cinq années passent. C’est long, cinq ans. Vraiment. Ca fait réfléchir, peser, regretter. La trentaine approche et le bilan est pas franchement glorieux ; non, elle non plus n’échappe pas à ce genre de constat. Quand on lui fait poser son cul sur une chaise menottes aux poignets face à un type des autorités sans lui expliquer quoi que ce soit, elle se dit logiquement que ça pue. Pas parce qu’elle est en taule qu’elle est tirée d’affaires : elle en a encore sous le tapis. Mais c’est pas tout à fait ça. Oui, on lui fait comprendre à demi-mots qu’on sait des choses et qu’on peut les rajouter dans la balance. On lui propose aussi un deal. De sa peine initiale, il lui reste encore deux ans. Deux ans, ça parait pas beaucoup mais c’est énorme. Beaucoup de choses peuvent s’y passer et sa situation peut être amenée à changer du tout au tout. Elle peut changer dès maintenant : si Grace Reid est d’accord pour mettre ses services au profit de ceux qui l’ont foutue derrière les barreaux durant ces deux années, elle peut bénéficier d’une libération anticipée sous (de nombreuses) conditions. Alors c’est oui. Evidemment que c’est oui. La perspective de pouvoir sortir transforme celle de passer le reste de sa peine en prison en une putain d’éternité, sans compter le risque de la voir rallongée dont elle se libèrerait tout autant en acceptant. Alors c’est oui ; putain que c’est oui. Retour à la vie normale, ou quelque chose qui s’y rapproche. Elle devient livreuse ou pilote pour des opérations compliquées et se prend encore au jeu. Ce qui n’a pas évité une collaboration compliquée : pas facile de jouer du côté de ceux qui l’ont coffrée. Ca n’a rien de naturel. L’entente se fait parfois, d’autres pas, mais Grace tient sa part du marché tout en évitant de se mettre en difficulté avec ses anciens complices, qui la croient tout bonnement transférée dans une autre prison. Elle finit par se confier, un jour, à l’un de ces flics avec qui elle doit faire équipe. Elle raconte un peu sa vie, elle qui ne raconte jamais rien à personne. Un peu de son enfance, ses parents, sa sœur. Les familles, son débarquement à Londres, comment elle en est arrivée là. Et la vraie libération vient avec l’adresse d’une certaine Andrea Donnelly, de l’île de Guernesey.
5. de l’époque où elle conduisait des bagnoles pour se faire de la thune, elle a conservé sa manie de garder l’intérieur de sa caisse toujours rangé – ça évite que tout finisse par voler pour un malheureux coup de volant ; fume comme un pompier, jure comme un charretier, est également un vrai pilier de bar ; son alcool préféré est le whisky ; c’est une killeuse au babyfoot et au billard ; grande consommatrice de café ; aucun doute quant au fait qu’elle vienne de Londres : accent garanti 100% cockney ; elle parle pas beaucoup d’elle pour s’épargner les jugements des autres : trop fière pour accepter d’inspirer la pitié ou la peur chez les fragiles, trop maligne pour vouloir risquer de s'attirer des ennuis, et simplement pas son genre de s’épancher sur le personnel ; vanne beaucoup et n’a pas froid aux yeux ; ne sait pas encore quoi foutre de ses dix doigts mais ne compte pas – a priori – reprendre sa vie là où elle l’a laissée avant de se faire coffrer ; le deux pièces qu’elle loue à saint peter offre une vue sympa sur le port – logement plutôt vide et impersonnel pour le moment : faut dire qu’elle y est pas depuis longtemps ; fume de la weed de temps en temps ; pousse facilement la chansonnette quand elle est bourrée ; à fond derrière le liverpool fc.
sincerely, me
ton prénom/surnom fanny. ton pseudo fanny (c’est original huh). ton fuseau horaire FR. tes pronoms elle – she/her. ton anniversaire 12 juin. tes séries préférées the boys (mais j’ai pas encore vu la saison 2 alors pas de spoils), the mandalorian, the good place, pas mal d’anime japonais (l’attaque des titans, my hero academia, black clover, one piece). tes films préférés le cinquième élément, jurassic park, les incorruptibles, usual suspects. ta chanson du moment lockdown – anderson paak. tes loisirs les soirées avec les copains, écriture, cinéma, shopping lèche-vitrine, donner des surnoms ridicules à mes persos (pennouille et cucule, coucou julia et sasha).

si tu étais...
un animal une loutre. une couleur bleu. une chanson lisztomania, phoenix. une fleur aucune idée mdr. une saison printemps. un des cinq sens goût. un endroit la dent d’oche. une odeur vanille/tabac. un mot merde. un super-héros vif argent. un plat pizza. une mauvaise habitude les tics de langage (genre, merde, putain, du coup, tu vois). une qualité patience. une insulte connard/asse. une ville jsp. une expression ça marche, ça roule, ça part.
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ohlalala, mais quel passif, la pauvre. starting over.  3702143140
zhenya est si belle. starting over.  1297056202
bienvenue sur l'île. starting over.  368296965
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starting over.  1694069747


c'te meuf
(personnage et irl)

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krkrkrkrk
zhenya la queen...
choix divin!!
starting over.  3004457484 starting over.  3004457484
puis ce perso...
o m g
son background si triste,
et si dur!!
la vie qu'à pas était un cadeau pour elle,
une vraie battante!!
starting over.  3422311330 starting over.  3422311330
puis elle mérite un peu d'bonheur comme même!!
me tarde de la voir évoluer!!
ouelcome à la maison,
du love sur toi!!

starting over.  368296965 starting over.  368296965
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le prénom starting over.  2746547240
zhenya starting over.  3070602953
bienvenue parmi nous starting over.  368296965
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Aie aie aie Zhenya starting over.  1694069747
Bienvenue starting over.  368296965
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@sashenka ivleva elle a quand même bien contribué à tout ça starting over.  2737050050
merci pour ton accueil starting over.  Herz
et ça faisait tellement longtemps que j'avais pas vu milla? fan du choix starting over.  411899135

@andrea donnelly starting over.  1276064925 starting over.  1276064925
et toi alors. starting over.  1101056146

@imrie finnigan le pseudo, le fc, tout starting over.  1882710505
et puis ton accueil aussi, je fonds. merci merci merci starting over.  Herz

@cora aldridge merci beaucoup starting over.  368296965

@isaac dumpsey aie aie aie, henry starting over.  1694069747
merci starting over.  368296965
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pas mal les sistas - si j'ai bien compris starting over.  320197790
bienvenue starting over.  Herz
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Grace Reid a écrit:
donner des surnoms ridicules à mes persos (pennouille et cucule, coucou julia et sasha).

morte starting over.  Icon_arrow starting over.  Icon_arrow starting over.  Icon_arrow

bon, elle a intérêt d'être gentille avec le mien celle-là starting over.  1588567803
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tout est beau, tout est fou starting over.  411899135 starting over.  3819927600
bienvenue starting over.  Herz starting over.  Herz
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