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 parlons de moi, parlons de nous

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ketchup id.
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parlons de moi, parlons de nous 2626272507
mais en fait, je suis choquée, je faisais partie des prévenus, dans le forum prototype mais j'ai posté qu'une minable question sans suivre la suite (à cause de ma vie irl qui a énormément bougée) et là je vois quoi ????
ce petit bijou ?
cette merveille ?
ce mont blanc ?

parlons de moi, parlons de nous 1694069747
je souhaite intégrer l'aventure

mais avant tout, j'ai des petites questions, petites ambitions qui, je l'espère, sauront vous convaincre.
bonne nouvelle, j'ai déjà mon personnage, donc ce n'est pas comme si j'arrivais les mains vides parlons de moi, parlons de nous 2677675224

fermez les yeux, et laissez vous emporter.
soundtrack : boygenius - souvenir
( Madeleine Baker ) c'était surement de l'ironie que de porter le nom de Baker et de brûler ses apple pies comme le bout de ses cheveux. Encore plus de venir d'une famille qui n'avait qu'en feu que les coeurs et jamais les fours.
A vrai dire, les feus demeuraient qu'entre les bois et les champs, la fumée qu'au détour de l'automne et de la trompe d'une téière.
La Madeleine, à prononcer /ˈmadlɪn/, de Guernesey venait d'une famille de pêcheurs, d'explorateurs de fonds marins et de voix tonitruantes dans les marchés locaux. Des veines bleus et secouées encore par la guerre, qui pompaient la fierté et la poésie brute des campagnes, parsemaient leur corps et dictaient la bienséance des Baker.
Une loyauté sans faille, la maladie de toujours finir son assiette et devenir fiévreux à chaque dépense hors-norme. Quelque-chose de modeste et humble résonait derrière les briques blanches de leur maisonnée, où trois filles virent le jour de manière différente.
Madeleine était arrivée avec les vagues. Des grains de sable dans le coins de ses yeux et sous ses aisselles, de l'écume sur son petit crâne et les cadavres craquants des crabes entre ses poings. Elle naquit lors d'une tempête sur les côtes de l'île et ses cris se fondirent avec le tonnerre.
Nonchalante, grossière, sarcastique, un brin défaitiste avec l'aigreur du vinaigre dans ses fish & chips, elle s'entendait avec la vieillesse du coin et les fantômes des géants coléreux. Un pull triquoté pour chaque vingt-cinq décembre qu'elle épuisait jusqu'à ce qu'un fil rouge ne s'accroche à chaque endroit où elle passait, elle avait des airs de sirène échouée parfois, lorsqu'elle freudonnait les berceuses et contes de ses grands-parents dans ce D’gernésiais oublié de la modernité.
Elle avait trouvé une bande, récoltée comme des cailloux. Certains venaient puis repartaient, comme la houle, mais le noyau, le rocher, restait. Ils étaient cinq et heureux. Des centaines de coups et des bonbons volés au marchand du coin. Ils grandirent ensemble comme un clan, des loups de bonne fortune aux jeans délavés. Puis un partit à Londres pour ses études, et l'autre tomba enceinte très tôt. Une autre trébucha et lui saccrocha à la barque des Baker, devenant un marin, un pêcheur avec des rêves trop grands pour le petit business familial. Madeleine, elle, partit aussi pour ses études. Pour une petite vie académique au loin dans l'horizon. Elle devint maîtresse d'école au Royaume-Uni et n'arriva jamais à se fiancer.
Puis l'eau remonta. Remonta sur les plages, déposant ses morts. Remonta sur les chaussées. Remonta par les narines. Mouillant les journaux, mouillant les vêtements, moisissant les murs. Un crime survena à Guernesey, incompris, perplexe, fou. Le corps du père Baker fut retrouvé sans vie, un matin d'hiver, entre les rochers. Madeleine revint lorsque l'enquête fut ouverte. Embrumée, perdue, tout s'enchainait dans un tourbillon. Elle ne pleura pas aux funérailles, fut prise d'un fou rire à le soir de la veillée, seule dans sa chambre.
Très vite on l'accusa, lui. Et Madeleine ne fit rien pour empêcher l'eau de monter, la gangrène de se propager. Il passa deux années en prison, homicide involontaire, démentant les accusations fondées sur des rumeurs, avant qu'on n'admette qu'il y avait erreur.  
Madeleine, elle, accompagnée du vieux labrador de papa, avait trouvé une place dans l'école locale. Là où ils avaient tous grandi et hurlés au soleil. Là où leur amitié s'était construite.
Il devint gardien du phare puisque son casier était brutalisé.
La bande était fisselée, et le coeur de Madeleine bombardé.

Du coup, forcément je cherche :

la petite bande, si certains ont dans la treintaine (entre 28 et 32 ans) et sont perdus (puis veulent du drama hihi) parlons de moi, parlons de nous 610626440 parlons de moi, parlons de nous 610626440 parlons de moi, parlons de nous 610626440 deux femmes (+ Madeleine) et un homme (sachant que le petit accusé à tord je compte en faire un pré-lien, mais si un invité se sent chaud bah parlons de moi, parlons de nous 4050229928 qui va dire non ? surtout que le lien entre lui et Madeleine, jvous dis il est pimenté parlons de moi, parlons de nous 2817693633 )
on peut tous parler, c'est assez libre à part les petits points au-dessus donc une qui a été maman très tôt (elle peut avoir perdu l'enfant, ou pas, être mère célibataire ou pas, l'avoir donné en adoption etc....c'est libre), et le monsieur qui serait partit à Londres pour de grandes études (genre avocat ou je sais pas....médecin)  parlons de moi, parlons de nous 802523619

les soeurs Baker, Madeleine sera l'aînée, donc j'ai besoin de deux petites soeurs. Dans la vingtaine serait le mieux, avec qui les relations peuvent être assez électriques aussi  parlons de moi, parlons de nous 2746547240

Enfin, je me demandais niveau avatar, avec cette petite description, vous imaginiez quelle tête ? j'hésite entre emily browning et astrid bergès-frisbey mais si vous avez d'autres suggestions s'il-vous-plait, faites  parlons de moi, parlons de nous 1843806278

Puis si vous avez d'autres liens en tête, je suis preneuse aussi, faudrait que je précise un peu plus le caractère de Madeleine mais en gros, elle est pas méchante, juste mordante et un peu hypocrite sur les bords parlons de moi, parlons de nous 329970992 puis très café noir, cigarette, bouteille de rouge, and rock'n'roll en dentelle et laine blanche.

Merci pour votre attention et j'ai trèèèèèèèès hâte de vous rejoindre parlons de moi, parlons de nous 1967282174
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j'pense pas que jojo puisse coller mais
wow wow wow
parlons de moi, parlons de nous 2206554366 parlons de moi, parlons de nous 1912079262 parlons de moi, parlons de nous 1666082979
j'adore tes idées parlons de moi, parlons de nous 3819927600
(vivement les dc parlons de moi, parlons de nous 514357743 )
et je pensais à deutch pour le rôle aussi parlons de moi, parlons de nous 2677675224
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damnnn cette histoire. parlons de moi, parlons de nous 3070602953 parlons de moi, parlons de nous 3070602953
je suis comme jonas, shook, shook parlons de moi, parlons de nous 155336040
emory est trop jeune pour la bande du coup, mais je vais trop tout zyeuter de loin. parlons de moi, parlons de nous 3070602953
pour l'avatar je voterais emily, elle va tlm bien au rôle je trouve. parlons de moi, parlons de nous 411899135 mais astrid est tout aussi parfaite. parlons de moi, parlons de nous 2746547240 bref j'apporte rien d'iintéressant mais je viendrai sûrement te dérober un petit lien (#clubdeuildepapa) parlons de moi, parlons de nous 320197790
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je ne serai pas plus originale mais j'aime tellement l'idée et ta plume, la manière dont tu décris Madeleine parlons de moi, parlons de nous 3070602953 parlons de moi, parlons de nous 3070602953
en lisant, j'ai tout de suite pensé à Imogen Poots mais j'aime beaucoup Emily aussi parlons de moi, parlons de nous 3047105298
ma Gale sera trop jeune pour la bande mais je suivrais avec attention parlons de moi, parlons de nous 1859777468
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ooooh merci à tous pour vos jolis mots parlons de moi, parlons de nous 1356126628 je voudrai écrire un roman pour vous remercier mais je suis sur le tel et dieu sait que c'est pas le meilleur outil....
avec plaisir pour les liens et autres parlons de moi, parlons de nous 3340315513
du coup mes recherches sont toujous d'actualité mais au moins je me suis inscrite parlons de moi, parlons de nous 2746547240
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