tag you're it (léo)

âge Vingt-huit ans, déjà qu'il parasite la planète par sa nonchalance et ses soupirs incessant. naissance et nationalité Née d'une mère Coréenne et d'un père disparu de la circulation après sa naissance, il passa son enfance en Corée. Il fut adopté par son beau-père qui prit la place d'une véritable figure paternelle, lui permettant également d'obtenir la double nationalité. Coréen et Anglais. Il changea également son nom et son prénom par la même occasion effaçant toute trace du passé. à guernsey depuis un an, déjà qu'il se planque comme un rat sur l'île en espérant qu'on l'oublie. Il n'a toujours pas prévu de repartir surtout qu'il vient de trouver une bonne raison de rester.métier, £££ Archéologue et arnaqueur, il s'est lancé depuis peu dans le trafic d’œuvres d'arts, ce qui lui permet d'avoir un train de vie plutôt aisé. statut civil, orientation Célibataire et hétérosexuelle depuis toujours, refusant de s'attacher à qui que ce soit. Pour lui, une relation doit lui être utile d'une manière ou d'une autre. On dit qu'il n'a pas de cœur. pronoms il, lui. faceclaim woo do hwan. personnage inventé. crédits tumblr (jesaisplus), gin wigmore (written in the water).

— caractère Hypocrite, profiteur, menteur, casse cou, sans gêne, baroudeur, aventurier, réfléchi.

13 aout 1992 → naissance à Séoul (Corée du sud) sous le nom de Yun Jin-Ho.
1998 → déménage à Londres avec sa mère chez son beau père.
1999 → se fait adopter officiellement par son beau père qui devient donc son père. Change également de nom pour Léo Freljord.
2014 → perds sa mère dans un accident de voiture.
2018 → obtient son doctorat en archéologie.
2019 →  se lance sur le marché noir.
2019 → part pour guernsey.

papa t'es gentil, heureusement que maman a réussi à te draguer. souffla Léo vers son père adoptif qui venait de le coucher dans son lit alors que la fièvre l'empêché d'accomplir toute action. Il a toujours été là pour lui, il l'a accepté, l'a adopté, l'a soigné tout ce que son père biologique n'aura jamais l'occasion de faire. Les années passèrent, mais la relation fusionnelle qu'ils entretiennent ne s'est jamais arrêtée. Puis un jour, sa vie changea de nouveau. Sa mère, la personne qui l'avait fait naître qui s'était occupé de lui depuis le début, la personne qu'il aimait le plus au monde décéda dans un accident de voiture. Ce jour-là, le monde s'effondra autour de lui. Un stupide accident, un chauffeur ivre, une mère pressée de rentrer avec un petit paquet cadeau sur le siège passager. Si elle n'avait pas été pressée, si elle avait regardé avant de tourner, si le chauffeur n'avait pas pu, tellement de si. Ce fameux cadeau, la seule trace que sa mère lui ai laissé, son dernier acte de tendresse.

comme dans les sims, je ne sais pas entretenir une relation. confia Léo à son meilleur ami. Pour s’enticher d'une personne qui risque de le quitter à tout moment. À quoi bon. Il soupira en regardant sa boussole qu'il tripoté depuis tout à l'heure. Le dernier cadeau. Le seul bien qu'il a peur de perdre. Son père a toujours été là pour lui, lui a tout offert, mais rien ne pourra remplacer ces quelques bouts de métaux qui pèsent bien lourd dans sa poche et sa vie. C'est dans un nouveau soupire qu'il la rangea dans sa poche avant d'attraper le bout de papier qui faisait de lui un archéologue pour le reste de sa vie. Une boussole, qu'elle ironie.

oublie tes doutes, ils ne te serviront à rien. lança t-il quand elle lui demanda une nouvelle fois conseil. Plusieurs mois qu'il l'écoutait partager ses incertitudes. Il écoutait et regardait ce fameux tableau qui valait si cher qu'il ferait tourner la tête de la famille Rothschild. Elle n'avait aucune idée de la valoir, aucune idée qu'elle pourrait changer de vie d'un claquement de doigt. Lui, il savait, c'est pour ça qu'il restait. C'est pour ça qu'il avait réussi à la convaincre de l'accueillir dans sa petite ferme qu'elle avait hérité de sa grand-mère et qu'elle n'avait pas voulu quitté contrairement à ses parents. Seule, jeune et indépendante. Il aurait pu lui voler son tableau et partir sans se retourner, mais il restait et l'écoutait. Des mois que ça dure, des mois qu'il aurait pu repartir vivre en Angleterre. Il n'était plus un homme avec sa tête mise à prix, pas depuis que son père s'était occupé de le sortir de la merde, encore une fois. La police avait fermé les yeux, mais Léo commençait à les ouvrir.