à
(un) de toi.
à tes rêves d’évasion, de liberté, de grandeur.
à tes rêves d’amour, de passion et d’ailleurs.
y’a l’ici, le chez toi. l’berceau d’ta vie pour l’cocon d’tes ennuies.
y’a l’ailleurs, l’espoir d’un lendemain meilleur. d’vivre loin, juste pour toi.
d’cette réalité attachée de tes espoirs viciés. d’cette vérité menottée de maux sans mots.
partir loin, partir où…
nul part ailleurs,
y’avais d’l’ici en envie et d’l’ailleurs en fantasme.
à tout ces chemins pour tout ces détours y’auras toujours un pieds ici.
à la douceur d’guernesey en paradis perdu.
légèreté du soleil et éclats des océans.
d’l’amour pour ici. de la haine pour la folie.
partir, revenir.
venir, repartir.
inlassable cercle de la casse départ en éternel sous tes pieds.
conte de fée décalée.
guernesey la maudite.
guernesey l’adorée. de toutes cette haine pour un brun d’amour,
et pourtant c’seras toujours un peu plus ici qu’un peu moins ailleurs.
mais dis-moi imrie,
dis-moi, tu l’sais que c’est beau de t’voir t’envoler ?!
mais dis-moi imrie,
dis-moi tu l’sais que j’serais là pour t’voir tomber ?!
à
(deux) de nous.
pour un toujours sans après.
ash, y’avais un nous.d’ce temps où les secrets n’étaient qu’des regards aux paroles qu’on avaient pas besoin d’ce dire.
ash, on était tout.d’ce liens à l’unisson. harmonie d’nos idéaux de ces moments où l’on s’comprenaient. d’ce toi sur lequel j’pouvais compter. d’ce toi en protection. d’ce toi qui m’écoutais. toujours.
tout qui sonnaient entre nous comme un à jamais.
t’étais ma moitié de cette complicité qu’on voyaient en éternel.
y’a plus qu’le chaos en ténèbres de ces pourquoi en désordre.
y’a plus qu’un champ d’bataille d’ces cendres morceaux d’nos cœurs.
y’a l’goût d’un plus rien. d’un néant sans fin.
la confiance qui s’est envolé pour l’dégoût qui à fait place. à toutes ces réponses en attente d’la vérité qui heurte les sens. les mensonges en facilité d’la réalité qu’on s’refuse à regarder en face.
on est lâche.
ash. mais dis-moi imrie,
dis-moi tu crois toujours qu’l’amour vaincras un jour?!
mais dis-moi imrie,
dis-moi tu crois qu’le passé en ignorance reste en oublie ?!
à
(trois) fois cent de l’océan.
de ces craquements au vacarme écho de ton cœur.
crépitement du feu pour l’claquement des vagues.
Les mots en armes.
du sang de tes veines au goûte à goûte de l’oubli.
le poids d’ton histoire qu’tu as parfois du mal à porté à tes rêves d’une famille en rien d’autre. délicate contradiction entre les origines de ton être contre celle à ton cœur. à tous ce que tu es pour la grâce du cadeau en adoption et de ta vie en existence.
tu prends un jour pour donner au lendemain.
à hierDe ces parents qui ton donnée la vie à ceux qui te l’on sauver. De l’évitement de foyer à un autre pour l’amour au premier regard. gratitude en infinie pour l’équation de ton existence. à cette bonne étoile des cieux pour tes prières en entente.
à aujourd’huile masque d'apparat au goût de voyages en souvenirs. photos pour l’image de la fille à demi-parfaite. les kilomètre en richesse pour l’bonheur toujours au bout des doigts, mais jamais au bout du cœur. de ce toi qu’tu as parfois en horreur. de tes erreurs à tes regrets qui t’rendent malade à t’en faire vomir. de ce toi qu’ils admirent. putain d’illusion aux mensonges.
à demainle toi d’un regard. la vérité au fond de tes prunelles qui s’consume au feu d’une rage sans nom. abysse océan des larmes en invisibles. apaisement tranquille. d’la nature sans jugement. tu glisses à l’eau, te laisses aller au vent. de tout ces mondes en oppositions. de c’que tu aimerais à c’que tu voudrais… pour seulement c’que tu as.
laisses-moi t’admirer imrie.
laisses-moi t’regarder t’faire happer par les remords du passé,
d’tes rêves,
ceux au goût d’inachevés.
à
(quatre) dessous d’la vérité.
prend-moi. jette-moi. déteste-moi. mouchoir de poche de tes sentiments en ribambelles.
damnation éternelle.
du mal qu’tu leurs laisses te faire pour oublier qu’tu te voudrais encore à lui.
plate ironie d’un conte de fée raté.
y’a qu’la poudre de fée pour du liquide ambré.
chemin de croix en dénote.
à la décadence d’cette vie sans attache dans laquelle tu t’laisse exister. de c’rôle qui t’vas si mal. tu t'caches à leur désir pour une minute de plaisir.
violence oxygène.
l’reflet de toi même.
tic tacdu temps qui passes et qui t’laisses un peu trop sur place. l’rêve après lequel tu cours pour oublier celui qu’t’as laissé d’côté. à tout tes espoirs en démesure. à toute cette grandeur en démérite. l’pauvre reflet des ombres qu’tu traînes.
boum, boumdouce mélodie d’la mécanique enrayé de ton foutu cœur. à leur laideur qu’tu aimes. à leur beauté qu’tu détestes. de tes instants pitié pour une caresse de plus. ton palpitant à la déroute. tu te dégoûte.
ô douce souffrance de ton cœur qui craque irmrie.
ô lente agonie de ton âme qui brûle imrie.
regarde-le. désir-le. aimes-le.
fais-le autant qu’tu l’veux,
il n’seras jamais plus à toi,
c’est jamais l’bon gars.
à
(cinq) pas de toi de vos mots en souvenirs pour vos corps en confidences.
mane en poussière d’étoiles de tes soupirs dissimulés en erreur regretté.
mane ça n’aurait jamais dû arrivée.de ces années passées à c’que tu as cru voir pour c’que tu as fait.
de tes belles conneries pour les oublis en ravages.
impossible de ces souvenirs en vrac.
encore.
toujours.
le passé au passé à ce présent qui s’invite pourtant à l’avant.
mane c’était bien, mane c’était mal.
mane ça t’fais rire, mane ça t’fais sourire. d’la perfection en déraison.
du chapitre qu’ta fermé à celui qu’ta ouvert.
la fin d’un début. le début d’une fin.
dis-moi imrie,
dis-moi la vengeance t’fais t’sentir mieux?!
dis-moi imrie,
dis-moi tu l’sais qu’tu vaux pas mieux qu’les autres?!
dis-moi imrie,
dis-moi elle est où ta perfection maintenant ?!
damnation éternelle au
(six) et deux autre.
perséphone aux aboies.
adieu de demain.
ça aurait dû être toi.
pardonne-moi ash.prière silencieuse à cet envie de défaire à refaire. revenir en arrière à l’oublie d’ces souvenirs abrasions à tes mémoire. une seconde de côté d’un amour en gâchis. de la fin en aura à sa danse funeste en triomphe. de tout c’qui s’est passé en anesthésie de tes sens. l’film en mémoire noir pour l’image d’un dernier sourire qu’tu voudrais à jamais oublié.
tu me manques ash.des secrets en jardin et des confidences en eden. d’un amour au profondeur d’un cœur à une âme. du conte de fée auquel tu croyais, d’celui qu’tu aimais. à c’vide laissé pour les pourquoi en immensité. d’la rage en colère d’un amour qui n’est plus que néant.
d’la tromperie en suicide à la fin du nous.
il semble loin l’temps où c’était toi et moi.
ash de toi à moi,
dis-moi qu’le gâchis venait de toi?!