PORTES DU PARADIS.

âge VINGT-SIX, métamorphose humaine, les entrailles déchirées au creux de ses rires, esquiver la fatalité de la vie au fil des années, supposer que chaque jour qui passe est le dernier, bien trop mis à mal depuis quelques années. naissance et nationalité une matinée qui fait frissonner, le vent s'abats sur l'île comme chaque année, le froid de décembre qui prends les tripes, DIX DÉCEMBRE en guise de repère sur le calendrier, les souffles émanés au plus proche des pavés de GUERNSEY. à guernsey depuis TROP LONGTEMPS, qu'il répondrait bêtement en haussant les épaules, un verre à la main, une cigarette roulée à la bouche, il dirait aussi qu'ici ça pue la merde, qu'une fois on a foutu les pieds ici, y'a cette force qui nous r'tiens et qui nous tuera si on essaye de partir. métier, £££ ROI DU BIBELOT, les rayons s'alternent entre les vieux vinyles et les derniers cd de musique, entre la dernière bande-dessinée a la mode et un grand classique de littérature, parfois quelques jouets et des téléphones entassés dans le fond du magasin, à côté de la caisse. ça rapporte rien, c'est la merde. [ £££] statut civil, orientation l'amour c'est toujours nocif quand il en est acteur, ça s'est toujours mal fini, peut-être de sa faute, ou de celle de l'autre personne, des deux. 'fin ça finit jamais joyeusement alors il s'est damné a finir CÉLIBATAIRE jusqu'à la fin de ses jours, combattre le mal en l'esquivant, digne d'un lâche, chose que tu sembles avoir manié a la perfection au fil des années. PANSEXUEL, les âmes ont cette beauté que les gens dénigrent, tomber amoureux d'un garçon rayonnant au coin d'une rue, le cœur qui s'laisse partir dans les tours en voyant la fille au bord de la mer. mélancolie omniprésente, désastre sentimental. pronoms il. faceclaim harry styles. personnage inventé. crédits  quote (c) damso. gif (c) unknown.

— caractère aventureux, charismatique, cultivé, imaginatif, protecteur. -- borné, dépendant, impulsif, impoli, violent.

oh, que dire de lui, on peut alterner un instant entre la jolie vie qu'il semble mener la journée, un vieux magasin de bouquins, de vinyles, de cd, parfois quelques ordinateurs en stock avec des téléphones, la légende raconterait qu'il y'aurait eu autrefois des consoles à vendre. il a récupéré ce vieux magasin du paternel décédé. un long souffle en se retrouvant comme le seul de sa famille, abandonné par sa mère depuis toujours donc quoi qu'il en soit, la vie reste la même. c'est un petit rire entre les lèvres, une cigarette au gout nuancé entre les lippes, on se doute un peu tous qu'il doit cultiver des trucs dans son grenier ou sa cave, jamais bien sur. le gamin qui se pointe a toutes les soirées et qui finit par rester dans son coin jusqu'à ce qu'on vienne le chercher, il a jamais vraiment cherché à se montrer sur le devant de la scène. on l'voit la nuit courir dans les rues, dans les champs, ou dans sa chambre au dessus d'son magasin à tabasser un vieux sac de frappe, soignant de multiples plaies à l'odeur de la violence. comme si c'était ça l'unique chose, l'unique moyen de panser les soucis, comme si tout s'évacuait au gout du sang sur les mains. rêver des grands rings c'est pas possible konan, t'es surement déjà trop vieux mec.. si t'arrives a battre un gamin d'vingt ans de l'île ça serait déjà un exploit. 'fin non, pas vraiment, au cu de toute l'âme que tu mets dedans. le sport en guise de thérapie, étant donné que personne ne t'aide.