sparkling attitude (atlas)

âge  (sweet seventeen) l’insouciance sous les traits de la mélancolique société, à les aduler et les détester sous le même regard. atlas les regarde de haut, le sourire aux lèvres et l’adolescence dorée entre les dents. à s’y perdre et s’y noyer, profiter de chaque grain du grand sablier qui peut couler sur son existence. à l’originalité d’un cliché ambulant, d’un petit con qui se murmure sous les brises alors qu’il ne leur renvoie que des allures d’enfant parfait à la vue et terrible derrière les portes fermées. naissance et nationalité (26 janvier, guernsey) les années écoulées en partenariat d’un autre être, et pourtant la même âme. elle se retrouve nouvellement torturée et déchirée pour la première fois et les hôtes s’y repentent dans la douleur. vivre et mourir ensemble, atlas n’y voyait d’une destinée avant que la vie ne vienne tordre sa perception. porteur de la terre sur ses épaules, il s’inflige une vie singulière pour éviter la peine de n’être que moitié.. à guernsey depuis (toujours) l’iode dans les veines, mais les racines pas encore ancrée profondément. portrait du boy next door, de celui qui connait les noms des commerçants. que la gueule d’ado ne fait que refléter simplement leur propre jeunesse. l’envie du monde mais le contentement de se sentir maitre de son royaume, la popularité facile dans une communauté restreinte. se perdre dans les falaises et regarder l’horizon comme utopie, entendre les récits d’autre chose de sa mère comme une époque révolue. son monde dans sa poche et les ongles plantés dans la terre humide.. métier, £££ (junior year in hs, middle class) l'intouchable aux yeux maléfiques, à la dégaine retombé et au rictus suffisant. pourtant personne n'ose lever la parole, éclater son air arrogant puisque contre les dires de tous, les chiffres lui donnent bonne couverture. les notes au bouclier facile, l'invincibilité qui lui accorde des laisser-passer à des remarques piquantes pour amuser la galerie. en dehors c'est la serviabilité qui prône, l'intérêt réel pour les autres et leurs histoires, surtout ceux qui parcourent la mer. depuis toujours accroché aux genoux des fishermen qui reviennent trempés de leur périples, il les adule et leur donne de son temps, pour la première fois se faisant bien voir sans aucune envie de reconnaissance. statut civil, orientation (célibataire, hétéro) les lèvres baladeuses, les baisers pour s'amuser mais il n'y a que les âmes féminines pour le faire chavirer. les corps comme papier brouillon, il aime y déposer sa trace pour ensuite les délaisser dans un tiroir. la lassitude attrapée comme une maladie virale, le cycle continue ne fait que se répéter sans qu'il ne sache se déposer sur une ligne solide. la vérité charnue c'est qu'il l'a déjà trouvé, son ancre planétaire qui s'ajoute à l'équation trop nombreuse. deux puis trois, la corde forcée d'en lacher un en route.. pronoms he/him. faceclaim ross lynch. personnage inventé. crédits tumblr, the darkness.

— caractère reprise d’une beauté disparue des années 80, l’arrogance dans la lumière d’un sourire moqueur, l’impatience rigoureuse qui se dérobe à la vue de son frère ou de thelma, charme et délicatesse des gestes exaltés de la vie, avide besoin de détourner les regards sur sa personne, le tout souligné d’une envie de bien faire, d’une pression suffocante d’être le mieux, les périples au bout des doigts, la parole effleurée d’une manipulation envoutante et d’un grain de leadership, les contraires d’une personnalité classique, d’un jock joueur que l’on déteste pour sa facilité face au monde, lui s’écarte par une sincérité terrible et d’une fraicheur à en devenir adoré et adorateur de la vie, à en fermer les paupières de plaisir sous l’iode de la mer.

existence écrasante d’un zeus qui détermine depuis longtemps de couper les êtres en deux. âmes sœurs déchus mais dans un destin qui leur sont favorables, ils sont nés ensemble, ne se sont jamais quittés. grandissent sous le même soleil éblouissant qui, au fil des années prend l’ascendant sur l’un d’eux. atlas et la connaissance enjouée de la vie, de l’insouciance de l’éternelle jeunesse sans que rien ne puisse défaillir sa lumière. la main accrochée dans sa jumelle, entité qu’il traine comme son égal, son compagnon et son plus fidèle allié. les yeux montés au ciel vers un visage doux, la matriarche en force admirative, il ne saurait décrire l’envieux désir de n’être que le seul à afficher un sourire sur le visage de sa mère. la fierté dans la démarche et toujours l’envie d’aller plus haut. se prendre pour maitre d’un royaume qu’il ne saurait délimiter. l’invincibilité qui n’est pourtant que façade et détour la peur de se perdre, de s’entacher sur une dépendance qui l’éloignerait du devant. la contrepartie angoissée d’une complémentarité dont il essaye de s’éloigner au plus vite avant de n’y recevoir que déchirures et plaies béantes. la décision furieuse de l’amour le plus vorace, le plus fort ou même le plus important. ams stram gram, la vie lui demande d’éventrer son âme.