Thelma Lindell "your local manic pixie dream girl" irl : theodisia, lily + elle posts : 69 faceclaim : kristine f. + doom days age : bittersweet sixteen birth : guernesey (26.01.04) nationality : british address : beach house on st peter port in guernsey : since birth occupation : student, full-time rbf private : single, closed topic mood : meh
⋅ heart shaped sea ⋅ options : ( #b1c1df ) ( anglais ) roleplay : ( open ) relations :
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| she walks through her sunken dream, to the seat with the clearest view âge [seize ans]. âge ingrat, jeunesse crasse en pleine ébullition. à peine adulte, toujours gamine, elle navigue entre rage impatiente de grandir et peur du futur. naissance et nationalité [26 janv. 2004, guernesey, anglaise]. premiers cris stridents dans la baignoire de la maison, née sous une nuit d’orage, permisses des remous de son existence. la bougie soufflée à trois, depuis presque toujours, l'éternité qui semble s'étioler. à guernsey depuis [toujours]. born and raised à guernsey, tout comme ses ancêtres avant elle. ancienne famille de l’île, un nom qui résonne dans les esprits, sixième génération de lindell sur ces terres. pourtant, elle, ne rêve que de partir. de prendre un aller simple pour le continent et ne jamais revenir. métier, £££ [lycéenne, revenu moyen] brillamment je-m’en-foutiste, trop pressée de partir de cette île pour s’attarder sur le comment, ses notes suffiront à l’emmener loin, bien loin d’ici. et si sa famille ne roule pas sur l’or, elle s’en sortira avec une bourse. s’en sortira d’une façon ou d’une autre. statut civil, orientation [célibatire, hétéro] eux. parfum masculin enivrant, chaîne de déception qui ne s'arrête plus, trust issues à en crever et pourtant c'est les garçons qu'elle affectionne, bien contre sa volonté. // le cœur atrophié, blessé tant de fois par le passé. s'attache difficilement, ne reste pas en couple plus d'un mois ou deux, rapidement lassée, et incapable d'aller plus loin que quelques baisers. pronoms she/her. faceclaim kristine froseth. personnage inventé. crédits tumblr, david bowie. — caractère thelma, c'est une comédienne. des sourires qu'elle s'invente aux émotions factices qui transpercent ses pupilles. tout n'est qu'invention, personnages qu'elle modèle, sans que personne ne parvienne à saisir ses véritables intentions. une énigme qu'elle entretient pour le plaisir, les mots qu'elle manipule avec aisance. simulacre de douceur peint à même ses traits, furieux mensonge pour vivre avec la réalité des choses. thelma, elle ne laisse personne l'atteindre. ce ne sera plus jamais le cas. et lorsque dans son dos, l’on parle, elle se contente d'un regard appuyé, d'un p'tit sourire, et d'une phrase dérangeante. c'est ce qu'elle a trouvé de plus efficace ; de mettre directement les pieds dans le plat. de demander aux bavards s'ils ont envie de les voir, les milliers de cicatrices qu'on lui invente, empreintes du courroux paternel. elle met mal à l'aise, de son regard affuté et de son ton mielleux, alors qu’elle les maudis intérieurement. elle est forte, thelma, parce qu'elle en a déjà bien trop vécu pour son âge et qu’elle ne se plaint pas, jamais. — key-words (the girl next door) douceur; cigarettes malboro; amertume; obsession pour l'espace; silence; vieux cinéma; secrets; roller-skate; remarques acerbes; le film eternal sunshine of the spotless mind; lolita-complex; vieille converse noires; club de poésie; undiagnosed bipolar disorder; ennui; true-crime documentaries; océan; david bowie; daddy issues- heart of glass :
( dad ) durant longtemps, elle n'a rien vu de ce qui pouvait se passer entre ses parents. rarement témoin des cris, des poings s'emmêlant. son père, elle ne le voyait pas depuis les angles morts voués à écorcher leur relation, à la blesser, elle. elle était plutôt docile, comme gamine, jusqu'à ce que sa sale manie de répondre ne s'invite avec le temps. lorsque les remarques paternelles commencèrent à lui rester en travers de la gorge, et que le petit ange se mit à sortir les crocs. il l'a pas accepté, bill, et bientôt le sang liquoreux ne faisait plus qu'un tour dans ses artères avant que ne se délient ses nerfs. elle s'en est ramassée des raclées, thelma. de celles qu'une môme n'aurait pas dû recevoir, qui laissaient de sales marques sur sa peau, des cicatrices destinées à ne jamais quitter son échine lorsque la ceinture vrillait l'air. ça ne lui faisait déjà presque plus rien lorsque darlene a fini par s'en apercevoir. ça ne lui a rien fait non plus lorsque son père a dû quitter la ville, avec l'interdiction de les approcher. la vérité, c'est qu'elle a l'impression qu'il y a à peu près tout, dans ce monde, qui ne lui fait plus rien. bill, c'est ça, pour elle. l'ombre qui lui a arraché une partie d'elle-même, celle qui parvenait à s'en soucier, à éprouver des choses, à s'attacher.
( mom ) elles ont été proches, toutes les deux, même si darlene travaillait tard durant ses gardes et peinait parfois à trouver le temps. ce qui leur est arrivé, ce qui est arrivé à thelma, elle ne se le pardonnera probablement jamais. la colère qu'elle porte à bill n'a d'égale que sa propre culpabilité. celle qui ne manque de resurgir dès que ses prunelles se posent dans les iris délavés de sa fille, incapable de les déchiffrer. et puis, y'a les sourirs de thelma et sa voix douce, trop douce, mielleuse à en pleurer. celle qui ne reproche rien, là où darlene aimerait presque mieux l'entendre hurler, s'égosiller, la voir ressentir quelque chose. si le ton ne semble jamais monter entre elles, c'est la tension qui gronde en sourdine, les non-dits accumulés au fil des années. l'implosion ronronne, se présage doucement, lorsque la première décidera de faire un pas sur le terrain miné de leur passé.
( arthur ) arthur, il sait pas toujours s'y prendre, avec thelma. il a déjà du mal avec son fils, alors les réactions de thelma, il sait pas comment les appréhender. il a toujours peur de faire une gaffe sans le vouloir. de lire dans ses yeux les mêmes éclairs que dans ceux de mad, lorsque son regard se pose sur darlene. alors, c'est toujours un peu maladroit. il veut pas trop en faire, s'imposer en figure paternelle, et puis, il n'a jamais vraiment eu d'autorité parentale faut dire, alors il est quand même vachement cool avec elle. dans le fond, il la trouve sympa, la môme. et si elle n'est pas franchement à l'aise non plus, faut dire que la réciproque est vraie, et qu'elle l'aime plutôt bien de son côté. d'toute façon, ça pourra jamais être pire que ce que c'était avant, et elle aime mieux voir sa mère au bras de arthur, qu'entre les mains de son père.
( mad ) elle a longtemps espéré, la belle, que le garçon serait un pilier, bouclier dans la tempête de son existence. il n'a jamais vu plus loin que sa propre détresse, mad, n'a pas compris à quel point la vie l'avait blessée elle aussi, comme elle aurait eu besoin d'un allier. la soeur par alliance qui n'a jamais rien eu d'une soeur, juste une étrangère venue foutre en l'air les vestiges de sa vie, salir la mémoire de sa mère comme si l'autre n'y contribuait pas assez par sa seule présence. peut-être qu'il s'est salement trompé, peut-être qu'il est trop tard, désormais, pour réparer ce qui ne peut plus être réparé. c'est ce qu'il pourrait lire dans les yeux assombris de thelma, alors que le ton se met à gronder de plus en plus fort, de jour en jour. lorsque leurs chemins se rencontrent, lorsque les mots dérapent, elle se défend, et ça jure, ça crie, le ton gronde entre eux et les mots dépassent leurs pensées. et partout l'on sait comme les frères et soeurs forcés se déchirent, l'on attend la prochaine altercation en tendant l'échine, de peur que ça n'aille trop loin. ils s'appellent pourtant, les coeurs brisés, de ce même mal qui ronge depuis des années. mais si mad est têtu, thelma est rancunière. et le soutien inespéré se meurt avant même d'avoir existé.
la gamine lindell, elle est jolie quand même. elle a d'beaux yeux, un iris qui vous transperce. et en plus de ça, elle en a dans l'encéphale, enfin, à c'qui paraît. elle a tout pour elle, la môme. c'dommage qu'elle se comporte comme ça, avec ses p'tites remarques et ses sourires en coin, parce que malgré la gueule angélique, y'a des regards qui en disent long. m'enfin, avec ce qu'elle a vécu, elle s'en sort bien. " m o o d b o a r d "crédit code - heresy sincerely, me ton prénom/surnom lily. ton pseudo theodosia. ton fuseau horaire utc+2. tes pronoms she/her. ton anniversaire seize nov. 2001. tes séries préférées euphoria, skins, friends, mindhunter. tes films préférées eternal sunshine of the spotless mind (m. gondry), donnie darko (r. kelly), little women (g. gerwing), mommy (x. dolan). ta chanson du moment fine line, harry styles. tes loisirs watch gymnastics vids, simp over bway actors, cry over movies. si tu étais...un animal CHIEN une couleur le noir. une chanson make you feel my love, de bob dylan. une fleur un lys. une saison le printemps. un des cinq sens la parole psk je suis étudiante en orthophonie et je suis obligée de façon contractuelle. un endroit des vignes. une odeur la baguette encore chaude. un mot dysthymie. un super-héros scarlet mother-fucking witch aka wanda maximoff (elizabet olsen épouse-moi ). un plat les dim sum aux crevettes. une mauvaise habitude oubliez mes rdv. une qualité la générosité. une insulte zigoto. une ville sancerre. une expression "se dormir dessus". |
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Faye Winters "I waited, as if the sea could make my decision for me." irl : cécile, murdock sur l'internet (elle) posts : 1166 multi-comptes : sofia (a. arjona) faceclaim : phoebe tonkin, ethereal age : trente-et-un birth : guernsey, born and raised nationality : british address : st peter port in guernsey : from the first breath to the last occupation : fisherman, inherited her dad's tiny fishing company private : hurt too many times (bi) mood : needs a fucking nap
⋅ heart shaped sea ⋅ options : en/fr; 666633 roleplay : (OFF) mara, hana, warren, pippa relations :
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| déjà, toi, kristine, le pseudo, le perso, ta plume, puis, eternal sunshine? little women?? DONNIE DARKO??? |
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Hana Wright irl : bérénice, vellichor (elle) posts : 225 faceclaim : bb dakota, ultaviolences (av), awona (icones) age : trente précipices tremblants birth : gamine d'ici, l'île dans ses veines nationality : anglaise occupation : professeure des écoles, et la douceur du "maîtresse" qui s'échappe des voix cristallines private : épouse devenue maman, elle n'est désormais plus qu'une veuve sans enfant aux souvenirs douloureux dans une maison bien vide ⋅ heart shaped sea ⋅ options : (#c7768f) (fr/en) roleplay : (1/3) - faye, forty relations :
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