le forum est fermé, merci pour tout ♡ on se retrouve sur https://callitmagic.forumactif.com/ — cécile
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| | i love you, you big fucking nerd. | |
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Beauregard Sixtine irl : kingshara/amely (she/her) posts : 18 faceclaim : ross lynch ; @mal de nuit; @vocivus; @magma age : seventeen, dancing king birth : 26.01.04 - guernsey, born and raised. nationality : british. address : week at dads in king's mill, every other weekend at moms by the beach on st peter port in guernsey : since forever. occupation : high school - the smartass in the back of the class. private : every little thing she does is magic.
⋅ heart shaped sea ⋅ options : ( chocolate ) ( eng ♥ / fr ) roleplay : ( open ) relations :
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| they say "teenager" like being sixteen is the end of the world âge (restless sixteen) – on leur rappelle qu’ils ont seize ans comme pour les maudire ; eux, de la promesse et du fléau – la génération terrible, z comme sentence, z comme bourreau. de ceux qui regardent la batterie de leur téléphone mourir en soupirant d’envie, de ceux qui ne prennent jamais rien aux sérieux, les invincibles adolescents aux sourires rayonnant – dents alternées blanche pour l’hygiène dentaire, jaune pour l’irone – riant au nez de la fin de monde, inébranlés par la tragédie qu’il personnifie juste pour pouvoir la taxer de « salope ». voici venu le temps des nouveaux géants, atlas a porté la voute céleste, ils porteront l’avenir. on leur rappelle qu’ils ont seize ans comme pour les maudire, sans se rappeler que les enfants ont toujours adoré les mauvais sorts. naissance et nationalité (26 janvier 2004, guernsey, britannique) – né du verseau donc fer de lance de l’humanisme – information triviale et certainement erronée que beauregard ne manque jamais de placer dans toutes conversations. signe, et jours partagés avec une moitié au même visage, même nom, même cœur. fils de ruby sixtine, à quelques procédures légales d’une ruby atkinson – mère née sur les bords de la tamise ; retraitée de la vie londonienne pour n’en garder que ses quatre épingles, une aversion pour le retard et un terrible manque de la ligne d’horizon. elle abandonne le nine to five des tours de verre pour une vie moins bruyante ; épouse alors travis sixtine, père aimant bien qu’aux tendances laxistes, mari galant à médiocre selon les périodes. émigré de tuscoloosa en alabama, usa – encore frais des marécages et des après-midi au soleil. you can take the man out the south but you can’t take the south of the man, l’influence du sud lui colle à la peau comme ses chemises à carreaux sous fortes chaleurs ; présent dans la posture, dans les éclats de rire et surtout dans cet accent implacable, fameux southern drawl tonitruant, prononcé trop intensément dans des discours gueulards – car larger-than-life travis sixtine a toujours quelque chose à raconter. l’ascendance est repérée chez les jumeaux par une cadence apatride – à mi-chemin entre deux pays, accent né d’un amour venu au monde par-delà les océans. à guernsey depuis (toujours) – la vie a guernsey n’est faite que d’eau de pluie. tout a une apparence fluide et aqueuse ici. on ne parle jamais de choses importantes, on se contente de banalités affligeantes, lisses comme de l'eau et on les laisse glisser sur notre peau. être né à guernsey, c’est un peu comme mourir à moitié, comme une promesse faite sur un coup de tête ; on se dit qu’on devrait rester : pour les amis, pour la famille, pour la mer qui ne cesse d’embrasser le rivage. être né à guernsey, c’est prendre le risque d’en tomber amoureux et de ne plus jamais vouloir quitter la côte. si beauregard aime les gens d’ici, il pourrait faire sans le littoral. pourtant, malgré la perpétuelle agitation qui le caractérise, la beauté de l’océan le paralyse. il voudrait voir le monde, mais il sait qu’il ne le fera probablement jamais il y a quelque chose dans l'air hanté d'iode de guernsey qui l’empêche de s’en aller. il n’est sûr de rien, sauf d'une chose : il est lié pour la vie à sa ville. métier, £££ (high school junior, classe moyenne) – à la maison : les pavillons blancs, les lotissements bien rangés, des jardins avec vue sur la mer, une envie de prendre le large entre midi et quatorze heures. à l’école : le chaos, le manque de discipline – moins par insolence que par ennui. une légère dyslexie, un trouble du déficit de l’attention avec hyperactivité et une générale démotivation pour tout ce qui n’entre pas exactement dans le cadre de ses intérêts font de beauregard un élève de fond de classe moyen tirant parfois sur la médiocrité. depuis le dernier rang, il gribouille sur ses carnets des monstres avalant des planètes, des vaisseaux jouant dans les cercles de saturne ; petit à petit, son grand projet se construit à travers les marges de ses cahiers d’algèbre : king zephoron’s home planet, le roman graphique qu’il écrit depuis ses treize ans, le paroxysme de ses rêves d’avenir : devenir illustrateur de bande-dessinés. statut civil, orientation (célibataire, open to discussion) – puceau jamais sorti de sa phase orale, obsédé par le rouge à lèvres, les mots avec le son « o », les dents bien alignées et la catégorie bj de ph, beauregard est suffisamment horny pour supposer qu’il ne serait pas difficile à convaincre. people are like spaghetti, straight until wet. de toute façon, dans son cas, la question ne se pose pas. amoureux depuis toujours de la voisine, si son regard fait quelques écarts sur des jeans passants – masculins, féminins ou autre – son dévouement est total, complet, à la limite de l’obsessif. elle est pour lui tout ce l’amour décrit. le gout de la botte semblant le ravir, il prend la friendzone comme une salle d’attente, ne trompant sa prétendue promise qu’avec sa main gauche ; sa main droite quand il se sent ambitieux. pronoms he/him. faceclaim ross lynch personnage inventé crédits pinterest. — caractère digne geek charmant, beauregard aborde la vie barré d’un sourire mégawatt éclatant, entrecoupé d’un joint négligé, roulé entre les dents. les mains dans le fond des poches à tâter les trous qui s’y forment, le menton porté haut et les yeux perçants d’une insouciance exacerbée, il se présente sans angle dru, bienveillant des lacés usés de ses converse de seconde main – dites vintage – jusqu’au peace sign cadrant son visage, menaçant de coincer ses doigts dans cette position devenue familière. le nerd typique à la parole aisée, les références à des comics obscures quittant ses lèvres avant d’atteindre son cerveau, chaque phrase prononcée trop vite ponctuée d’un dude en guise d’adverbe, adjectif, interjection, surnom affectif. il est de ceux qui prennent plaisir dans leur excentrisme : le plus cool des ratés, le roi des rats, le prince des perdants. nonchalant, le smirk désintéressé assouplit ses lèvres dans une expression insolente néanmoins dépourvue de cruauté et d’un air aérien il hausse les épaules avec facilité ; il y a pire dans la vie que d’être un loser, beauregard ne s’excuse pas de ce qu’il est. passionné par l’occulte, l’astrologie, les aliens, les théories du complots et autres hobbies l’empêchant de dormir la nuit, il saute d’obsession en obsession, collectionnant les preuves de ses amours passants sous forme de goodies, vhs, dessins placardés sur les murs déjà saturés de sa chambre ou pins alourdissant ses vestes en jean. il porte toute sa vie sur sa personne, plus transparent encore qu’une baie vitrée, honnête jusqu’à dans le rouge qui vient si facilement colorer ses joues : beauregard ne ment jamais. beauregard n’a que de bonnes intentions. mais beauregard faiblit lorsque baisse les lumières. s’il n’accorde que très peu d’importance à la perception qu’on a de lui, si peu intéressé par l’idée de plaire à tout le monde, il a une aversion singulière pour la solitude et le silence. le bras passé sans conséquence autour de la taille de son amie, la main sur l’épaule de son frère, les doigts frôlant ceux de la voisine, beauregard touche pour reconnaître et se retrouve très vite manquant privé des autres. d’un naturel particulièrement relaxé, il lui arrive cependant de disparaître, laissant place à cette partie de lui-même qui inspire les monstres qu’il dessine. le trouble explosif intermittent est l’ombre qui lévite au-dessus de son lit. si peu enclin à la colère en temps normal – en partie à cause de ce qu’elle génère dans ses pires moments – il lui arrive de perdre contre elle, devenant fou de rages qui ne lui correspondent pas. des remords, des migraines, des envies de disparaître, la vie va en cycle plus ou moins long de périodes stables et de virulence. beauregard n’a jamais l’envie de détruire, de hurler, de faire du mal ; mais il a appris la première fois qu’il a regardé vers l’immensité des étoiles : certaines choses existent en dehors de notre contrôle.
a moment made of moments.
beauregard a neuf ans ans. aujourd’hui, c’est son anniversaire. celui de son frère et de la voisine, aussi. la banderole est trop petite pour les trois noms alors papa décide de l’adresser au trio. happy birthday and best wishes to the january triad. beauregard ne connait pas le mot ‘triade. il demande à thelma de lui expliquer mais quand elle parle, il ne l’entend pas. un rayon de soleil embrasse sa silhouette dans une lumière baissante donnant au pigment d’ordinaire châtain de ses cheveux un reflet ocre hypnotisant. beauregard est fasciné. thelma fronce les sourcils en remarquant que son explication n’atteint personne et l’expression consternée de son si joli visage lui fait l’effet d’une flèche dans le palpitant. elle le réprimande et il ne peut s’empêcher de sourire. il sait qu’il va l’aimer pour toujours. ce soir-là, lorsqu’ils soufflent leur bougie, beauregard fait le vœu d’un jour pouvoir exaucer tous les siens.
beauregard a douze ans. maman appelle à atlas à dîner. sa bouche s’incline dans l’esquisse d’un sourire, courbée dans une expression presque rieuse comme si un être invisible venait de lui murmurer une plaisanterie à l’oreille. quand elle prononce son nom, elle dit aussi ‘amour’, ‘océan’, ‘voyage’, ‘fierté’, ‘bonheur’, ‘cieux baignés d’un bleu aveuglant’. ses lippes en connaissent les contours et le moindre secret, elles sont toujours formées comme si elle venait de le dire. maman appelle beauregard à dîner. quand elle prononce son nom, elle ne dit rien d’autre.
beauregard a treize ans. papa fait griller des burgers sur le barbecue du jardin. entre deux retournées de steak, il raconte à voix portante les épopées de ses vingt ans : ses aventures dans les marais d’alabama alternant entre chasser les alligators et êtres chassé en retour ; ses soirées entre amis à hurler à la lune sous des chaleurs abrutissantes ; l’air humide près des lacs attirant des insectes gros comme des balles de tennis. beauregard, comme toute son audience, est pendu à ses lèvres. depuis sa chaise longue, maman fronce les sourcils. comme tout le monde, elle adore son mari, mais contrairement au reste de ses adorateurs, elle le préfère dans ses humeurs silencieuses. beauregard aime son père indépendamment de son tempérament. travis sixtine est un homme facile à aimer et de tous, beauregard est celui qui l’aime le plus.
beauregard a quatorze ans. le ciel est couvert depuis quelques semaines et atlas se plaint de ne plus pouvoir voir les étoiles. pour le surprendre, beauregard achète des feux d’artifices au magasin du coin. le vendeur les lui donne avec réticence, préconisant la présence d’un adulte pour leur utilisation. beauregard hoche la tête. puisqu’il ne ment jamais, il se contente de dire la vérité : « je serai avec quelqu’un en qui j’ai tout à fait confiance ». le vendeur semble rassuré. beauregard installe ses trouvailles sur la plage. lorsqu’atlas le rejoint, une fois la nuit tombée, les fusées explosent dans une myriade de couleurs, couvrant le ciel d’étincelles semblables à une ribambelle d’étoiles. le lancer est loin d’être impeccable et le choc couplé au bruit font saigner beauregard d’une de ses oreilles. la douleur est intense, à peine surmontable mais de l’autre côté du jet d’étoiles, atlas regarde le ciel en riant. beauregard n’a plus mal. depuis cette nuit-là, il est devenu sourd dans son oreille gauche. pourtant, il peut encore entendre ce rire en stéréo. ce rire qui s’envole et embrasse les nuages. ce rire qui lui manque à chaque fois qu’il disparaît, ce rire qu’il aimerait mettre en bouteille pour le conserver indéfiniment sur son étagère. s’il pouvait étreindre ce rire, certainement que beauregard ne s’en déferait jamais.
beauregard a seize ans. assis à son bureau, penché sur un dessin qu’il n’a pas le cœur de finir, il se demande comment il en est arrivé là ; à cet instant fait d’instants. à ce moment fait de secondes, faites de souvenirs, faites d’autres moments plus petits. est-ce qu’il aurait dû le voir venir? quand il avait neuf ans ? quand il en avait douze? treize? quatorze ? il laisse son stylet retomber lourdement. sur l’écran de sa tablette graphique, zephoron, le personnage principal de son roman graphique king zephoron’s home planet, le regarde avec une compassion qu’il ne souvient pas avoir ajouter à ses yeux. son expression a l’air de dire : « je comprends. moi aussi, j’ai perdu mon orbite. » beauregard soupire, prend son téléphone et commence à taper un message. il le supprime avant d’appuyer sur ‘envoyer’. quelque soit ce qu’il avait l’intention de dire, il suppose que dorénavant, ça n’a plus d’importance.
sincerely, me :ton prénom/surnom amély ton pseudo kingshara ton fuseau horaire utc +2 // sans importance, je ne dors jamais ;) tes pronoms she/her. ton anniversaire 26 janvier, comme mon perso, je sais, le melon. tes séries préférées sense 8, new girl, one piece, gossip girl, criminal minds, psych, vampire diaries, naruto, fruits basket, haikyuu – plus éclectique, tu meurs. tes films préférées high school musical : premiers pas sur scène ; high school musical 2 ; high school musical 3 : nos années lycées ta chanson du moment sex with a ghost – teddy hyde (très beauregard comme chanson) tes loisirs faire une fusée, combattre des momies, escalader la tour eiffel, découvrir un animal bizarre, laver un singe à l’eau de vaisselle. (for real, mes hobbies dépendent de ma monomanie du moment. actuellement, je partage mon temps entre lecture obsessive de livres – je viens de finir if we were villains de m.l rio, j’ai chialé – et fuite de mes responsabilités). si tu étais...un animal un chien. une couleur rouge. une chanson complainer – cold war kids. une fleur un rhododendron. une saison l’hiver. un des cinq sens l’ouïe. un endroit la cuisine de l’ancienne maison de ma meilleure amie d’enfance. une odeur celle de la crème pour le corps mixa au bouchon orange. un mot fucking NERD. un super-héros poison ivy (je sais que c’est une méchante mais entre nous, elle ne le mérite pas. she said « fuck men, save the environnement » a queen. un plat sandwich de station d’essence. une mauvaise habitude le retard. une qualité that ass. une insulte grosse pute. une ville henrietta, virginia – ville fictive de la saga littéraire the raven boys de maggie stiefvater. si tu l’as lu, slide dans mes dms. une expression « a hoe never gets cold » – cardi b.
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| | | Thelma Lindell "your local manic pixie dream girl" irl : theodisia, lily + elle posts : 69 faceclaim : kristine f. + doom days age : bittersweet sixteen birth : guernesey (26.01.04) nationality : british address : beach house on st peter port in guernsey : since birth occupation : student, full-time rbf private : single, closed topic mood : meh
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| - queenshara a écrit:
- escalader la tour eiffel, découvrir un animal bizarre, laver un singe à l’eau de vaisselle.
maintenant je comprend mieux que ta tête soit en forme de triangle |
| | | Faye Winters "I waited, as if the sea could make my decision for me." irl : cécile, murdock sur l'internet (elle) posts : 1166 multi-comptes : sofia (a. arjona) faceclaim : phoebe tonkin, ethereal age : trente-et-un birth : guernsey, born and raised nationality : british address : st peter port in guernsey : from the first breath to the last occupation : fisherman, inherited her dad's tiny fishing company private : hurt too many times (bi) mood : needs a fucking nap
⋅ heart shaped sea ⋅ options : en/fr; 666633 roleplay : (OFF) mara, hana, warren, pippa relations :
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| SURFER SUR LES VAGUES OU FAIRE DU BRICOLAGE AVEC LE CERVEAU DE FRANKENSTEIN IL EST LÀa n y w a y je suis si émue de vous voir toutes les deux ici + ross tozjfoozod on le voit pas assez et ce perso, de dingue, mais je suis pas surprise welcome baby |
| | | Invité Invité | | |
| Je suis déjà fan du perso ! Bienvenue parmi nous ! |
| | | Hana Wright irl : bérénice, vellichor (elle) posts : 225 faceclaim : bb dakota, ultaviolences (av), awona (icones) age : trente précipices tremblants birth : gamine d'ici, l'île dans ses veines nationality : anglaise occupation : professeure des écoles, et la douceur du "maîtresse" qui s'échappe des voix cristallines private : épouse devenue maman, elle n'est désormais plus qu'une veuve sans enfant aux souvenirs douloureux dans une maison bien vide ⋅ heart shaped sea ⋅ options : (#c7768f) (fr/en) roleplay : (1/3) - faye, forty relations :
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| bienvenue |
| | | Invité Invité | | |
| OH MAIS OH MAIS OH MAIS CETTE FICHE JE JE JE SUIS FAN ????? bienvenuuuue, hâte de lire ses aventures irp. |
| | | Beauregard Sixtine irl : kingshara/amely (she/her) posts : 18 faceclaim : ross lynch ; @mal de nuit; @vocivus; @magma age : seventeen, dancing king birth : 26.01.04 - guernsey, born and raised. nationality : british. address : week at dads in king's mill, every other weekend at moms by the beach on st peter port in guernsey : since forever. occupation : high school - the smartass in the back of the class. private : every little thing she does is magic.
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| @thelma lindell queensharai see what u did there also respecte ma tête au triangle si tu veux pas une tête au carré (petit jeu de mot géométrique pour toi ma chère) @faye winters comme on se retrouve n'est-ce pas je te ramène ross en double, tu le verras bien assez ici je pense hehe merci @demetria castillo quel joli pseudo! merci! @hana wright merci bien @sashenka ivleva alors déjà tu me flattes là ça me fait plaisir, merci beaucoup et ce pseudo??? sashenka sashenka sashenka magnifique phénoménale mélodieux j'adore |
| | | Invité Invité | | | | Invité Invité | | |
| - Citation :
- et ce pseudo??? sashenka sashenka sashenka magnifique phénoménale mélodieux j'adore
@beauregard sixtinemais t'es trop mimssss jpp m e r c i |
| | | Faye Winters "I waited, as if the sea could make my decision for me." irl : cécile, murdock sur l'internet (elle) posts : 1166 multi-comptes : sofia (a. arjona) faceclaim : phoebe tonkin, ethereal age : trente-et-un birth : guernsey, born and raised nationality : british address : st peter port in guernsey : from the first breath to the last occupation : fisherman, inherited her dad's tiny fishing company private : hurt too many times (bi) mood : needs a fucking nap
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| - Citation :
- puceau jamais sorti de sa phase orale, obsédé par le rouge à lèvres, les mots avec le son « o », les dents bien alignées et la catégorie bj de ph, beauregard est suffisamment horny pour supposer qu’il ne serait pas difficile à convaincre. people are like spaghetti, straight until wet.
je crève de rire ptn j'aime déjà bcp bcp trop beau genre this kid is so fcking cool hâte de stalker les rps avec le bro quand même, ça promet gngngngn |
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