imrie finnigan — érosion.

— keywords bonbon acidulé -- rayon d’soleil -- plage -- douceur -- v o y a g e -- passion -- merveille du monde -- positive -- famille -- origine -- avenir -- écriture -- sable chaud -- p o é s i e -- instant présent -- rêveuse -- amour éphémère -- promesse naïve -- sauvage -- souvenir amer -- océan -- maux de cœur -- déception silencieuse -- l i b e r t é -- délicate symphonie -- humanitaire -- adoptée -- légèreté -- sucrée, salée -- travail -- vacances -- vie -- paradis -- désillusion -- croyance -- cocktail enchantée.

— piece of life
famille en oxygène --  ((enfant adopté pour des vies sauvées))
elle avait quinze ans celle que t’aurais dû appeler maman. elle avait quinze et une erreur de parcours au goût de trop tard pour en effacer toute trace. elle avait quinze ans et des rêves plein la tête pour sa vie qu’tu lui aurais gâché si elle t’avait gardé. d’un ventre d’une femme au cœur d’une autre. d’un simple géniteur, amour de jeunesse pour un papa qui n’voulait que toi. bébé adopté, bébé désiré. adoré. de ce plus beau cadeau qu’est l’avenir que l’on t’as offert. un merci à ta mère biologique pour l’inconditionnelle pour tes parents adoptifs. à cette famille qui est tout. ta vie. ton cœur. ton oxygène.
papa, maman, peter et toi...
fantôme du passé -- ((amie disparue pour des amitiés perdus))
à l’avant. défaire pour refaire. revenir en arrière à l’instant en bascule de c’qui était pour c’qui n’seras jamais plus. à cette nuit maudite en boucle d’la sonnerie qui te réveil en question éternelle : pourquoi tu n’as pas répondue ?! d’son retour vivant à son corps te secouant. l’enfermement. le tout, le rien. lui, encore. toujours. l’autre, un peu plus. tous tes regrets, tout tes méfaits. pluie de remords. les fantômes d’un passé qui te hante encore.
ash, je t’aimes encore, reviens-moi.
mane, touches moi encore, j’ai aimé ça.
luz, tu me manques, si seulement.
cez, tu t’souviens, refaisons autrement.
astrée, on était rien sans elle, et maintenant.
voyage, voyage -- (( tour du monde pour oublier))
anesthésie des sens de toutes ces vérités inavouées. des secrets en silence au nués de mensonge laissé au temps qui passe pour celui qu’tu ne lui a pas laissé. car c’était mieux de partir. toujours mieux de fuir. oublier. éluder. ne plus y penser. à jamais d’une promesse intenable. du tout qui te rappel ici. de rien d’un souvenirs d’eux. un monde traversé dans c’que tu disais être un rêve…. et le pourtant d’tes pieds sur tes terre d’antan pour l’rappel que l’encre indélébile est l’écriture ardente de tes maux en poème crève-cœur.
tout ira bien…
tout va très bien!!
mensonge, mensonge.